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Après-lecture Stephen KING : SIMETIERRE Finir un joli pavé de 570 pages est toujours une délectation ahurissante. Mais c’est aussi une grande perte, un univers tout entier que l’on regrette déjà. Car d’univers King en connais les plus étonnants recoins : une petite ville de campagne en Nouvelle-Angleterre, des habitants courtois, le milieu du 20eme siècle chaleureux et raisonné. Voila ce que nous propose cette œuvre du grand maître du suspense et de l’épouvante. Simetierre, ou l’histoire d’une famille modèle s’attachant à sa vie idyllique av

Je me laisse envahir par l'intense plaisir de la découverte artistique, poussant à l'extrême la notion de ravissement. Je parle là de photographie. Les mains sont pour cet art un bien grand model, se laissant prendre au gré des convenances futiles et intenses... La beauté d'une prise de vue, un regard intercepté, coupé par le grain délicat, détail organique, me plonge dans la plus grande pamoison. Je voudrais tant les rendre vivantes, toutes ces photos, ces mains immortalisé dans leur état de grâce, car toute ont leur particularité et toutes connaissent leur rôle : te

Plis incestueux, armoiries délicates et gouffre voûtant, dénigrant toutes choses et les appropriant à sa façon, forme ridicule qu'elle n'est de ne pas être faite pour elles. De la main naît l'exquise délectation morbide qui s'ensuit à la réflexion de la dévotion corporelle, l'élan suprême et inéluctable de la beauté, délicatesse unie en un geste encensé. L'art de bien manier la main est délicatement parsemé de milles et une manières déroutantes. De tenir une fourchette  peut être un exercice fort d déplaisant à un observat